Billet éthique
Les dépressions, les états de stress post-traumatiques ne sont pas les seules affections neuropsychiques, donc n’engageant pas le pronostic vital, qui peuvent conduire en Belgique, aux Pays-Bas, à accepter une demande d’euthanasie. Dans le dixième rapport aux Chambres législatives (années 2020-2021) de la Commission fédérale de Contrôle et d’Évaluation de l’Euthanasie, sur les 102 cas d’euthanasies belges pour affections psychiatriques, on relève un peu plus d’un tiers de dépressions, 10% d’états de stress post-traumatiques incorporant des « deuils pathologiques », 15% de schizophrénies, d’autres troubles délirants et de troubles du spectre de l’autisme, et un tiers environ de troubles de la personnalité et du comportement, sans autres précisions...
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