Parmi les tourments et les souffrances inutiles infligées aux familles éprouvées par le décès de l’un des leurs figurent les contraintes sanitaires qui furent imposées à ces relations ultimes avec leur proche décédé alors même que ces relations tiennent à des comportements indissolublement liés à la condition humaine. Sans les rituels de la mort, comment laisser aux soignants le sentiment d’avoir accompli leur mission jusqu’au bout ? Comment permettre aux familles d’entrer dans cette période de deuil qui doit permettre d’assumer la perte définitive et irréparable d’un être cher ?

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