Chronique radio de Roger Gil
On peut considérer que toute vie est fragile et vulnérable, qu’elle peut donc être cassée ou blessée et donc que toute vie est par essence précaire. Avec ce paradoxe qu’elle est reçue sans l’avoir demandée, la vie n’existe biologiquement que par la mort qui la vaincra. Ephémère, la vie est en outre soumise aux aléas venus du dedans ou du dehors et qui la mettent à l’épreuve, qui altèrent cet état d’épanouissement que l’on appelle la santé malmenée par des accidents ou des maladies...
La chronique est disponible ci dessous, nous vous en souhaitons une bonne écoute.